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Auckland
Il ne faut pas être depuis longtemps en Nouvelle Zélande pour mesurer l'attachement, presque l'amour que les Néo-Zélandais portent à la nature
Les parcs sont partout
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Par jacky-micky le 16 Décembre 2013 à 08:13
10 décembre 2013
LES PARCS
Des dizaines de parcs régionaux ou nationaux et des milliers de réserves naturelles, plus 30 réserves marines
forment un paradis pour la flore et la faune.
A MANGERE où nous sommes aujourd’hui, nous visitons THE GARDENS, le jardin botanique d'Auckland, partagé entre
les pelouses parcourues d’allées,
une multitude de fleurs,
les bassins
et les oiseaux.
Au détour des sentiers se dressent des formes étranges.
des apparitions inquiétantes ...
La ville d’AUCKLAND abrite plusieurs parcs, souvent autour des volcans, nombreux dans l’île du nord et heureusement endormis.
Nous en visitons quelques uns.
Le Mont EDEN, avec son cratère bien visible encore.
Au sommet une table d’orientation donne la direction et la distance des grandes villes du monde.
Certains des caractères, en bronze, sont polis par les frottements des touristes. C’est le cas de Londres et Moscou.
Paris n’a pas la côte et semble bien terne. Nous le frottons quelques minutes pour lui donner de l’éclat.
Du sommet nous découvrons AUCKLAND et mesurons son étendue. Pourtant, à part le front de mer, il y a peu d’immeubles. Les Néo Zélandais sont attachés à la maison individuelle (le cottage) avec jardin.
Un peu plus loin, toujours dans la ville, le parc « ONE TREE HILL » s’étend autour d’un ancien volcan (encore) où vivait une importante communauté MAORI, regroupant jusqu’à 5 000 personnes.
Son nom, ONE TREE HILL, (la colline de l’arbre solitaire) doit son nom au fait qu’un arbre y fut planté, au sommet, en 1640. Il a été plusieurs fois remplacé. Le dernier fut abattu en 2001 et aucun n'a été replanté depuis..
A la place se dresse un obélisque
sur lequel un Maori, couteau à la main, surveille les lieux.
Nous découvrons la ville sur 360 °
Ce lieu est important pour les Maori puisqu’il se rattache à leur histoire mais aussi pour les Européens : John Logan Campbell un colon, donateur du terrain en 1901 est enterré au pied de l’obélisque.
Caché entre les collines,
un tronc énorme et creux, reste d’un géant, porte les traces du feu qui peut être l'a détruit.
Beaucoup d’arbres, plusieurs fois centenaires qui ont poussé en toute liberté projettent leurs branches comme de multiples troncs.
Au bord d'une immense pelouse, une ancienne et authentique demeure en bois, a été transférée dans ce parc.
et en fin d'après midi, nous jouons les pionniers qui le soir, sous la véranda, regardaient le soleil se coucher, loin à l’horizon.
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