30 décembre 2013

 

 

 

C’est jour de marché. Un petit marché pour une capitale. La moitié des étals concernent les fruits et légumes, l’autre moitié vend des préparations prêtes à consommer.

 

Il y a beaucoup de badauds et d’acheteurs.

 

Deux étals sont tenus par des français

 

 

 

  

une rotisserie et

  

 

  

une crèperie (site : …excusemyfrench…)

 

 

 Un clown vend des ballons

  

  

qu’il transforme en animaux fabuleux.

 

 

 Un étal attire notre attention.

 

 

 

Tom’s chimney

 

 Une file d’acheteurs attendent leur tour.

  

Nous surveillons la préparation de cette friandise qui est si appréciée.

 

 ..... 

Vous prenez un cylindre en bois, muni d’un manche

  

  

et vous le badigeonnez de beurre.

  

 

Puis, à partir d’un paquet de pâte à gateau, confectionnez des boudins

  

 

 

 que vous enroulez

  

 

  

autour du cylindre

 

 Rouler ensuite le cylindre pour bien faire adhérer la pâte

 

  

 

 et badigeonnez la de beurre fondu

  

 

  

roulez la encore dans du sucre en poudre

  

  

Et mettez à chauffer

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Quand la pâte est cuite (quelques minutes suffisent)

  

Faites la rouler dans de la poudre (d’amandes ou autres), il y a le choix

  

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il ne reste plus qu’à démouler la cheminée,  

 

 emballer le produit … et payer

 

 

  

 

Ce doit être délicieux !

 

  

Encore tout émerveillés par ces images, nous parcourons le marché quand Micky croise une dame en train de déguster une de ces fameuses cheminées.

 

Devant les yeux d’envie que semble avoir Micky, la dame s’arrête et nous propose d’en goûter un morceau.

 

 Sympa ? non !

  

Par correction … nous refusons.

 

  

A la sortie du marché, deux très petites filles s’amusent à récolter quelques sous. L’une en grattant une guitare désaccordée, l’autre en dansant.

 

 

 

 

 

 

Nous encourageons ces talents en herbe d’une petite pièce.

 

 

 

 

 

 

 

29 décembre 2013

   

 

 

Nous sommes installés à une table de pique nique, dans l’herbe, près de la mer.

 

 

 

 

 

A côté de la pelouse, c’est la plage.

 

En mangeant, nous regardons le spectacle des passants.

 

  

 

 

 

Aujourd’hui le temps est couvert, la température douce et il ne pleut pas. Ce sont les conditions que nous avons rencontrées depuis un mois. Mais les pluies sont fréquentes.

 

 Il pleut presque tous les jours 1 ou 2 heures, plus rarement toute la journée.

 

 

 

 

 

Cela peut expliquer l’abondance de la vegetation et la tenue parfaite des pelouses qui semblent toujours avoir été tondues la veille

 

 

 

 

comme sur les cartes postales

 

 Pourtant nous ne voyons jamais une tondeuse, ni dans les parcs ni dans les jardins privés, ni sur les terrains de sports.

 

 Dans les villes comme à la campagne, tout est propre. Il n’y a pas de détritus par terre ou sur les bords des routes. Les poubelles publiques ne débordent jamais. Pourtant, là non plus, nous n’avons jamais vu de personnel d’entretien.

 

Dans toutes les villes et les villages, il y a des toilettes publiques. On en trouve même dans des endroits isolés où nous accédons lors de nos randonnées.

 

Partout, ces bâtiments sont bien tenus, propres, avec du papier et du savon.

 

C’est presque magique. 

 

Au bord de la mer, c’est animé, mais pas agité.

 

Les enfants courent,  

 

 

 

 

 

  

les adultes se promènent.

 

 

 

 

Quelques uns vont se baigner

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

malgré la fraicheur de l’eau.

 

 

 

 

 

 

 

 

Alors que d’autres vont faire du kayac.

  

Certains préfèrent marcher

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

D’autres encore qui se déplacent selon leur goût.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Et les solitaires qui s’inventent un monde.

 

 

 

 

 

 

Seul, impassible, le maitre-nageur, la planche sur l’épaule

 

 

 

observe la mer.

  

Les Néo Zélandais sont très sportifs. Sur le front de mer, beaucoup d’hommes et de femmes courent. Nous avons vu un couple de jeunes qui couraient en poussant un landau.

  

Les Néo Zélandais sont des gens responsables, soucieux de la qualité de leur environnement. Ils sont aimables et respectueux traitant chacun avec égalité.

 

Ce sont de gens de nature et de plein air, adaptés à leur climat.

 

Les jours de pluie nous les voyons se promener en t-shirt, souvent en short, indifférents à la pluie. Nous voyons régulièrement des adultes et des enfants les pieds nus, même à Wellington, la capitale, même quand il pleut.

 

Nous avons vu des enfants retirer leurs sandalettes pour patauger les pieds nus dans les flaques d’eau.

  

Tout ce monde déborde d’énergie.

 

Les enfants jouent dans des structures

 

 

  

où ils développent leur sens de l’équilibre, le goût de l’effort. Ces petits jardins d’enfants sont nombreux et très souvent occupés par les petits

  

 

 

 

Et même les plus grands.

 

 

 

 

 

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